LE MINISTRE D’ÉTAT REMERCIE SES COLLABORATEURS POUR LEUR ENGAGEMENT DURANT LA TRANSITION

Ce mercredi 7 mai 2025, le Général de Division Flavien NZENGUI NZOUNDOU, Ministre d’État chargé des Travaux Publics, a réuni, dans la salle de réunion de son cabinet, les Directeurs Généraux, Directeurs Adjoints, Chefs de service et les responsables des entités sous tutelle pour un seul objet : les remercier pour leur engagement au cours des 20 mois de Transition.

Comme chacun le sait, le département ministériel précité a un nouveau depuis le lundi 5 mai 2025. Par décret du Président de la République, Monsieur Edgard MOUKOUMBI a été nommé à la tête de ce Ministère en remplacement du Général de Division NZENGUI NZOUNDOU. C'est donc dans cet esprit que s'inscrit la rencontre entre ce dernier et ses désormais anciens collaborateurs.

Un ministère relancé.

Ainsi, l'occasion a-t-elle été donnée au Ministre d’État a tenu à saluer le travail accompli pour «redonner au ministère des Travaux Publics ses lettres de noblesse», après plus d'une décennie de léthargie. Il a également exprimé sa reconnaissance envers les plus Hautes Autorités de la nation, notamment le Président de la République, Chef de l’Etat, Brice Clotaire OLIGUI NUEMA, pour lui avoir confié la mission de revitaliser ce département stratégique. «Un ministère qui, pendant près de 14 ans, est resté sans véritables outils de travail pour assurer l’aménagement et l’entretien du réseau routier gabonais», a-t-il déploré.

Un appel à la continuité

Dans un esprit de responsabilité, le membre du Gouvernement de la Transition a exhorté les équipes à maintenir la même rigueur et la même détermination avec son successeur. «Le travail accompli, bien que significatif, reste inachevé», a-t-il souligné. Non sans appeler à la poursuite de la mission de modernisation des infrastructures routières.

Un départ en toute sobriété

Le Général NZENGUI NZOUNDOU passe ainsi le relais à Monsieur Edgard MOUKOUMBI avec la satisfaction du devoir engagé, mais aussi avec l’humilité de celui qui sait que les défis infrastructurels du Gabon requièrent une action pérenne.